Manger toujours plus sainement
Les fondamentaux restent
Voilà le dernier sondage effectué par TNS Sofres à l’occasion du SIAL 2016 (Salon International de l’alimentation) dans les 14 pays de l’étude: d’année en année, ce sondage confirme la recherche des consommateurs de manger sain .
« Le plaisir » de manger, l’origine, l’authenticité, le terroir font partis des critères de sélection de notre alimentation. Ainsi, le « bon goût » est un élément primordial de choix alimentaire !!!!
Et il y a bien confirmation que le consommateur souhaite savoir d’où viennent les produits : c’est une des raisons des achats locaux.
Les tendances « du fait-maison » reviennent : jardin sur les balcons, les poules pondeuses, la culture chez soi. Autre regain également à noter pour les produits simples (zéro colorant, zéro additif…)
Manger sain, c’est avant tout faire confiance à ce que l’on mange
La première crainte étant liée à la peur aux aliments, les consommateurs jugent « probable le risque de l’alimentation pour leur santé ».
Et cette perception à gagner du terrain car un consommateur sur cinq est « convaincu » du risque alimentaire selon TNS Sofres. Ce n’est pas les épisodes d’ intoxications alimentaires récurrents qui feront taire ce sentiment.
C’est une des raisons pourquoi, le consommateur est de plus en plus attiré pour la gamme biologique: plus d’1 personne sur 2 se dit « prête à manger bio dès que possible ». C’est encore une confirmation de la confiance que le consommateur retrouve dans ce type d’aliment.
La composition aussi est un critère important
Les trois quarts des personnes sondées sont très regardants sur les annotation comme « sans antibiotiques », et 56 % le sont pour la mention «sans huile de palme »
. Ce qui explique que les marques ayant travaillés sur la communication et la composition des aliments ont du succès.
Tendance mondiale : le consommateur privilégie moins d’emballage
Les consommateurs sont de plus en plus nombreux à s’orienter vers les produits ayant moins d’emballage, ou alors vers les emballages recyclables.
Et les innovations alimentaires?
Dans la catégorie de changement des habitudes alimentaires, les insectes et les algues n’ont pas encore réussi à faire leur place. « On en parle beaucoup plus qu’on en mange », dit Xavier Terlet, du cabinet XTC.
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